“ BIENVENUE SUR THE LAST CHANCE „
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| | charlie-rose ∆ only know you love her when you let her go | |
| Auteur | Message |
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| Sujet: charlie-rose ∆ only know you love her when you let her go Jeu 9 Jan - 23:48 | |
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“ CHARLIE-ROSE HAWKINS „ feat. lana del rey @tumblr
Salut! Moi c'est Charlie-Rose Hawkins, et j'ai vingt-quatre ans. Je suis née le vingt-cinq juillet au Québec, je suis donc québécoise/canadienne, mais d'origine québécoise par ma mère et américaine par mon père. Je suis actuellement célibataire et ouverte aux rencontres et intéressée par les hommes. Dans la vie, je suis éducatrice spécialisée, ou intervenante auprès des enfants de parent soldat et à Fort Bliss mon lien avec l'armée est radioactive. Sinon, il parait que je ressemble à Lana Del Rey. C'est dingue non?
Quel est votre lien avec l'armée ? Le lien de Charlie-Rose avec l’armée se présente en emballage «format économique». Encore une enfant, déjà, le premier de ces liens se créait. Cadette de la famille, la petite Charlie-Rose devait arriver à vivre avec la nouvelle vie de son père, soit celle de soldat de l’armée canadienne. Durant cette période, elle voyait l’armée comme une entrave à la relation entre son père et elle, ce qui faisait en sorte qu’elle détestait tout ce qui y était relié. Par moments, elle en voulait à son paternel de les avoir abandonnés durant des semaines, lorsqu’il partait en mission. Puis avec les années, elle avait compris que le rôle que jouait son père était très important. Non seulement il se dévouait à la tâche pour obtenir des promotions, afin de subvenir aux besoins de sa famille, il se donnait aussi corps et âme pour défendre le pays dans lequel la troupe vivait. Puis il sauvait des vies. Le jour où Charlie apprit que son père avait empêché la mort certaine de plusieurs personnes, elle découvrit un nouvel aspect à l’armée, celui d’aider et de sauver. C’est à ce moment qu’elle avait accepté (en partie) ce qu’il faisait. Plusieurs années plus tard, lorsque son frère Vincent a décidé de s’engager à son tour dans l’armée, Charlie avait eu l’impression de revivre le même cauchemar qu’autrefois. À l’époque très proche de son grand frère, elle avait difficilement accepté sa décision de suivre les traces de leur paternel. Avec le temps, elle avait de nouveau accepté cette réalité, sans toutefois pardonner à son frère ce choix. La peur de le perdre prenait le dessus. Finalement, c’est en déménageant sur la nouvelle base de Fort Bliss que la jeune femme développa une nouvelle opinion de l’armée. Elle était entourée de gens qui, comme elle, devait vivre avec le fait que l’un des leurs risquait sa vie pour son pays. Elle comprenait peu à peu l’importance que cela avait aux yeux des soldats et autres membres de l’armée. Elle tente toujours de faire la paix avec ce milieu.
PSEUDO ~ freeze (c) PRÉNOM ~ catherine PAYS, RÉGION ~ québec, canada ÂGE ~ dix-huit ans COMMENT AS TU DÉCOUVERT TLC ~ bazzart DERNIER MOT ~ le forum est magnifique, le contexte l'est tout aussi, vous êtes magnifiques quoi
made by @blueprint && mistletoe
Dernière édition par Charlie-Rose Hawkins le Lun 13 Jan - 16:25, édité 4 fois |
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| Sujet: Re: charlie-rose ∆ only know you love her when you let her go Jeu 9 Jan - 23:48 | |
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“ TELL ME YOUR STORY „ the first one is the worst one @boys like girls
“ CHAPTER ONE „
«Cher Journal, Ce soir, au dîner, papa nous a annoncé une mauvaise nouvelle, ou enfin une bonne, je ne sais pas trop… Papa semblait si heureux, Maman cachait sa tristesse derrière un grand sourire blanc, Vincent avait des petites étoiles dans ses grands yeux, Béatrice ne comprenait pas trop. Puis il y avait moi, dépassée par cette nouvelle. Je ne sais pas si je dois être heureuse puisque mon papa l’est, ou si je dois être triste puisque… je suis triste. » Les larmes de Charlie-Rose coulaient doucement, le long de sa joue, avant de terminer leur course sur les feuilles pastels de son journal. À l’intérieur d’elle-même, Charlie bouillait d’envie de renverser tout ce qui se trouvait près d’elle, dans sa chambre. D’un coup, du haut de ses neuf ans, la petite fille lança son journal contre son mur et enfoui sa tête face contre son oreiller, pour étouffer le son de ses pleurs.
“ CHAPTER TWO „
Charlie descend les escaliers en vitesse, son sac à dos sur une épaule et court enfiler ses espadrilles. C’est un vendredi après-midi, elle n’a pas de cours aujourd’hui, tout comme son frère et sa sœur. «Charlie?» La mère de la jeune fille était aussi présente à la maison, cette journée-là. Charlie soupire. Du bout des orteils, elle retire ses espadrilles et laisse son sac glisser de son épaule. «Tu sortais?» lui demande sa mère. Elle hoche la tête, fuyant le regard de sa figure maternelle. Cette dernière caresse doucement la joue de sa fille du bout des doigts : «Tu rentreras tôt, alors? N’oublie pas quel jour nous sommes. C’est une journée importante, une journée spéciale.» Charlie persiste à fixer le sol, sentant les larmes lui monter aux yeux et le rouge lui monter aux joues. «Une journée spéciale, mon œil» pense-t-elle. «Une minute de bonheur ne vaut rien lorsqu’elle est entassée entre des heures de tristesse, de solitude.» C’est ce sentiment, qu’elle connaissait si bien, qui lui revenait. Cette colère qui, plus jeune, avait tant séjourné dans son cœur, dans sa tête. Elle la reconnaissait, même avec le plus subtile des signes annonciateurs. Une voix douce la ramène à la réalité : «Charlie-Rose? Tu m’entends? Tu seras rentrée pour 17h?» Tout bas, en enfilant de nouveau ses espadrilles, Charlie répond «Bien oui, maman.» Elle met son capuchon sur sa tête, prend son sac à dos duquel elle sort un lecteur de disques compacts et des écouteurs, puis quitte la demeure familiale. Derrière elle, sa mère ouvre la porte de la maison, espérant que sa fille revienne sur ses pas, ce qui n’arriva pas. Non loin de chez les Hawkins, se trouvait un petit parc boisé où il était possible d’aller marcher, ce que Charlie fit. À mi-chemin du parcours du parc, elle s’assoit sur l’herbe humide, quelques minutes, avant de se laisser tomber sur le dos. Elle se laisse emporter par sa musique et la brise fraîche, ferme ses yeux et rêvasse. Une famille, qui passait en vélo, en riant, ramena Charlie à la réalité. Elle regarde sa montre : 16h56. «Merde! Je ne serai jamais à la maison pour 17h.» Elle range son lecteur de disque dans son sac, le referme puis le pose sur ses deux épaules. De toute ses jambes, elle court jusqu’à chez elle, espérant arriver à temps. À quelques pas de sa maison, elle regarde à nouveau sa montre : 17h04. Elle sait déjà ce qui l’attend à l’intérieur. Elle aurait envie de retourner s’étendre sous ces branches d’arbres, fuir sa réalité. Cette réalité qu’elle a pourtant tant attendue. «Courage, Charlie» se dit-elle. Une porte qui s’ouvre, des rires, de la musique, du bonheur en grande quantité dans l’air, de l’amour en trame sonore de fond. «Charlie-Rose, tu m’as tant manquée» dit-il doucement, mais sincèrement, en tendant les bras vers elle. «Tu m’as manqué aussi… Papa» murmure-t-elle au creux de son oreille. Si l’adolescente qu’elle devenait peu à peu redoutait tant ce moment de retrouvailles, c’est qu’elle était consciente de quel évènement s’en suivrait. Charlie-Rose n’aimait pas les «au revoir», mais elle détestait davantage les retrouvailles.
“ CHAPTER THREE „
«Vincent, Charlie-Rose, Béatrice! Venez ici, rapidement!» C’était la voix de sa mère, elle avait prononcé cette phrase sur un ton différent de celui à son habitude. Charlie est la première à entrer dans la salle familiale, où se tient sa mère, debout, face à la télévision, les yeux brillants qu’elle devinait habités par des larmes. Ça y est, c’était la fin. Qu’est-ce que cela pourrait bien être sinon? Vincent passe le cadre de la porte, suivi de Béatrice. «Il est mort?», avait osé murmurer l’adolescente qu’était Charlie. Mme. Hawkins fixe l’écran quelques secondes de plus, puis lève les yeux vers ses enfants, voyant bien les points d’interrogation dans leurs yeux. Elle tend les bras vers ceux-ci, qui ne tardent pas à la rejoindre. Elle les serre dans ses bras, chacun leur tour, puis essuie ses larmes du rebord de sa manche. «Ne vous inquiétez pas, votre père va bien, très bien», dit-elle en souriant, puis regardant le téléviseur à nouveau. «Nous vous rappelons donc qu’un grave accident est survenu un peu plus tôt, cet après-midi, et que celui-ci a été marqué par un geste héroïque, posé par le soldat James Hawkins. Plus de détails, à venir d’ici la fin du bulletin.» Mme. Hawkins essuie de nouveau quelques larmes, puis enchaîne : «Les enfants, un grave accident est arrivé aujourd’hui, sur les lieux où votre père et son équipe étaient en mission. Soyez rassurés, votre père n’a subi aucune blessure. Avec son équipe, il a abattu un groupe terroriste qui venait tout juste de lancer des débris enflammés à l’intérieur d’un immeuble d’habitation. Il a tenu à entrer dans l’immeuble avant qu’il n’y ait trop de dégâts, pour sortir le plus de gens possibles de là. Nous avons peu d’informations, nous savons toutefois qu’une maman et son jeune bébé ont été sauvés… c’est plutôt vague pour le moment, mais l’important c’est qu’il va bien, lui aussi.» Charlie-Rose sourit sans s’en rendre compte. Pour elle, l’armée c’était la guerre, les conflits, les blessures, les attaques, et pour terminer, une mort certaine. Souvent, le téléphone avait sonné avec, au bout du fil, une voix annonçant que son père, son papa chéri, avait été touché ou blessé. Chaque fois que cela arrivait, elle s’endormait en pleurant, le soir venu. Aujourd’hui, il avait sauvé des vies, il avait commis un geste décrit comme héroïque et pour cela, il n’avait pas sacrifié sa vie, quoiqu’il l’ait mise à rude épreuve. «Peut-être qu’au fond, l’armée, ce n’est pas une si mauvaise chose…»
“ CHAPTER FOUR „
Un après-midi du mois de mai, Charlie rentre du boulot, un travail qu’elle aimait bien, en parallèle à ses études. D’ailleurs, elle attendait impatiemment les résultats de ses derniers examens, question de savoir si elle obtiendrait son diplôme ou pas. En franchissant le portique, sa mère se jette sur elle, lui annonçant qu’elle a reçu une lettre de son école. «Charlie, ouvre-vite! J’ai l’impression d’être plus impatiente que toi de découvrir ce qui s’y cache!» Ce qu’elle l’aimait, sa mère. En vieillissant, Charlie s’était rendu compte qu’elle pouvait compter sur elle, non seulement comme une mère, mais aussi comme une amie, une confidente. Elle l’avait aidée à accepter plus facilement les absences de son père lorsqu’il partait en mission, même si c’était difficile. Elle avait aussi compris que si cela avait été difficile pour elle, durant toutes ces années, ce l’avait été davantage pour sa mère, qui avait dû élever ses trois enfants, pratiquement seule. Charlie avait terminé ses études secondaires avec la conviction et l’ambition de faire des études post-secondaires, afin de venir en aide à son tour. Les semaines suivant le premier départ de son père pour l’armée, la petite fille qu’était Charlie-Rose avait rencontré l’intervenante de son école primaire. Elle n’en avait pas vraiment envie, mais sa professeure lui avait fortement conseillé. Après quelques rencontres à discuter, elle s’était finalement ouverte à son intervenante, ce qui lui avait retiré un lourd poids qu’elle portait sur ses épaules. Cette même intervenante l’a suivie jusqu’à la fin de ses études secondaires, elle était, en quelques sortes, devenue une sorte d’amie pour elle, malgré le lien professionnel qui les séparait. Elle avait été aidée à surmonter cette dure épreuve, ainsi que d’autres difficultés qu’elle avait vécues, c’était donc pour cette raison qu’elle avait décidé d’aider à son tour. Charlie prend une grande respiration. «Je suis prête», dit-elle en regardant sa mère, puis l’enveloppe qu’elle ouvre doucement. «Mademoiselle Charlie-Rose Hawkins, c’est un honneur de vous annoncer que l’ensemble de vos cours ont atteint la note de passage, ce qui signifie que vous êtes à présent diplômée de notre établissement.» Charlie cria de joie en sautant sur place, devant sa mère qui la regardait, le sourire jusqu’aux oreilles. «J’ai réussi maman! Je suis diplômée! Terminé les bouquins, à moi le vrai boulot!» Cette journée, la jeune femme en rêvait depuis des mois. Elle qui n’avait jamais vraiment adoré l’école, elle avait mis beaucoup d’efforts pour atteindre son objectif : devenir éducatrice spécialisée (intervenante auprès des personnes en difficulté d’adaptation).
“ CHAPTER FIVE „
Quelques semaines plus tard, une décision réfléchie vint bouleverser la petite vie pas si tranquille des Hawkins. Le paternel, James, annonce à sa famille qu’ils déménageront aux États-Unis, son pays d’origine. Après avoir longtemps servi les forces armées du Canada, celui-ci souhaitait retourner rejoindre les rangs de sa nation. Il lui faudrait seulement quelques mois de résidence sur les terres américaines avant de pouvoir s’enrôler de nouveau. Vincent, l’aîné, était plutôt heureux de cette décision. Au plus profond de lui, il savait qu’il comptait joindre l’armée à son tour et était conscient de l’ampleur de l’armée américaine, bien différente de celle canadienne. Les offres étaient plus nombreuses, plus avantageuses. Il pourrait suivre les traces de son paternel pour y arriver. Puis il avait toujours aimé voyager, c’était donc une opportunité de plus. Pour Charlie-Rose, ce grand changement inattendu lui paraissait aussi positif, puisque la demande de professionnels en son genre est beaucoup plus grande dans ce pays, l’offre étant très petite. Béatrice, en pleine adolescence, vivait plutôt mal ce changement brutal, qui la sortait de sa zone de confort. C’est ainsi que, au bout d’une dizaine de semaines, la famille pliait bagage. Ils s’installèrent au Texas, dans ce nouvel environnement qui n’était familier qu’à l’un des membres de la troupe, soit James. Les mois passaient et Charlie-Rose s’adaptait de façon remarquable à sa nouvelle vie. Elle avait trouvé un boulot dans une école primaire, où elle suivait des enfants vivant des difficultés quelconques, âgés entre cinq et douze ans. Elle adorait son emploi et y consacrait beaucoup de temps. Côté relationnel, la jeune femme n’avait pas changé… La séparation qu’elle avait vécu avec son père, en bas âge, lui avait laissé un léger traumatisme dont elle avait pris conscience avec les années – mais aussi grâce à ses études, elle avait pu identifier certains de ses comportements et de ses mécanismes de défense. Elle était très ouverte aux rencontres, elle appréciait grandement la présence d’hommes dans sa vie, mais cela ne durait que quelques temps. Les portes de son quotidien étaient bien fermées et elle ne comptait pas les ouvrir au premier venu. Marquée par sa relation avec son père, Charlie-Rose ne s’était jamais sentie capable d’accepter une relation à long-terme. Pour elle, les hommes finiraient toujours par disparaître, pour revenir ensuite, ce qui était le plus blessant.
“ CHAPTER SIX „
Aujourd’hui, Charlie-Rose et sa famille vivent à Fort Bliss, depuis peu. La jeune femme a quitté son emploi à contrecœur, sachant toutefois qu’elle en trouverait un qu’elle aimerait tout autant, sur la base. C’est ainsi qu’elle prit sous son aile une dizaine d’enfants dont un parent ou un proche était engagé dans l’armée. Elle qui avait vécu cette situation plus jeune, elle savait maintenant que ces petits êtres avaient autant besoin de soutien que de la présence d’une personne significative. Elle les voit tous les jours, fait des activités avec ceux-ci, parlent, les aide à exprimer leurs émotions et bien plus. En dehors de son emploi, Charlie aime passer du temps avec sa famille, ou avec ce qui reste de sa famille. Elle aime bien faire la fête, s’amuser, passer du temps entre amis et faire de nouvelles rencontres. Elle s’est lancée tête première dans cette expérience qu’est Fort Bliss et elle est impatiente de découvrir les possibilités que celle-ci lui offrira.
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Dernière édition par Charlie-Rose Hawkins le Lun 13 Jan - 16:10, édité 3 fois |
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| Sujet: Re: charlie-rose ∆ only know you love her when you let her go Ven 10 Jan - 1:28 | |
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| Sujet: Re: charlie-rose ∆ only know you love her when you let her go Ven 10 Jan - 1:43 | |
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| Sujet: Re: charlie-rose ∆ only know you love her when you let her go Ven 10 Jan - 1:46 | |
| En plus tu as copié mon rang dans ton titre de présa'. jokes J'espère que tu vas garder Lana Del Rey finalement. J'ai hâte de lire ton histoire afin de trouver notre idée de lien top top. Je suis ta fan No1. Tsé la fille qui capote un peu trop. |
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| Sujet: Re: charlie-rose ∆ only know you love her when you let her go Ven 10 Jan - 1:51 | |
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| Sujet: Re: charlie-rose ∆ only know you love her when you let her go Ven 10 Jan - 1:54 | |
| LOLL. Très sexy en effet. T'en fais pas pour les reproches, j'en ai plein la poche! Je suis une spécialiste pour « écoeurer la population entière ». Tu verras bien met que tu atteignes la chatbox, je suis reconnue pour mes kickages. |
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| Sujet: Re: charlie-rose ∆ only know you love her when you let her go Ven 10 Jan - 2:08 | |
| Bonne chance, ça risque d'être plutôt difficile. Bien hâte de voir si tu vas réussir ... C'est un défi. Cap' ou pas cap' ? |
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| Sujet: Re: charlie-rose ∆ only know you love her when you let her go Ven 10 Jan - 2:32 | |
| Bien hâte de voir ce que cela va donner. Allez, ouste maintenant, à ta fiche! J'arrête de te déranger - ou pas. |
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| Sujet: Re: charlie-rose ∆ only know you love her when you let her go Ven 10 Jan - 15:45 | |
| Bienvenue |
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| Sujet: Re: charlie-rose ∆ only know you love her when you let her go Ven 10 Jan - 17:00 | |
| OH MON DIEU CATHOUE MA CATHOUE j'espère que tu va mieux (au fait c'est clarisse de retro ) bienvenue a toi j'adore lana omg. Berf, je suis trop contente de te voir ici , j'espère que tu t'amusera bien |
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| Sujet: Re: charlie-rose ∆ only know you love her when you let her go Ven 10 Jan - 19:04 | |
| OH MERDE J'ÉTAIS SURE QUE C'ÉTAIT TOI, MAIS J'OSAIS PAS !!!!!!!!! Quand tu as dis sur Retro que tu avais un forum maintenant, j'ai eu un doute que tu me confirmes à l'instant! Merci, votre forum est magnifique! Cette fois, tu as fais différent, c'est pas le pseudo qui est long mais le job? (Job: Réparateur de voiture && garagiste && inventeur && mécanicien) |
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| Sujet: Re: charlie-rose ∆ only know you love her when you let her go Ven 10 Jan - 20:09 | |
| Ahahah ouais t'inquiète ps cathoue on a décidé que les membres du mois auraient des droits sur la cb, alors si t'es sage tu pourra kicker everly |
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| Sujet: Re: charlie-rose ∆ only know you love her when you let her go Ven 10 Jan - 20:17 | |
| Mehhh non, elle est trop gentille et en plus, elle est québécoise |
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| Sujet: Re: charlie-rose ∆ only know you love her when you let her go Sam 11 Jan - 0:55 | |
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| Sujet: Re: charlie-rose ∆ only know you love her when you let her go Lun 13 Jan - 18:26 | |
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“ FÉLICITATION „
OH MON DIEU CATHOUE. J'adore ta fiche l'histoire de Charlie est juste géniale, pour le premier chapitre j'avais qu'une envie c'était de prendre la petite Charlie Rose dans mes bras et de la réconforter ton histoire et topissime, je te valide donc garde moi un super lien
Félicitation, tu fais maintenant parti entièrement de cette belle famille. Tout d'abord, tu dois valider ton avatar pour que nous puissions le mettre dans le bottin, alors clique ici. Pour te trouver un toit pour dormir, clique ici et pour trouver un emploi clique par là. Vu qu'il faut de la compagnie dans la vie de tous les jours, je te propose de cliquer ici pour poster ta fiche de lien et par ici pour créer tes scénarios. Et pour terminer, n'hésite pas à harceler le staff si tu as des questions
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| Sujet: Re: charlie-rose ∆ only know you love her when you let her go | |
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| | | | charlie-rose ∆ only know you love her when you let her go | |
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