| Sujet: (F/LIBRE) YVONNE STRAHOVSKI ✂ in her sideshow. Mer 8 Jan - 21:25 | |
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“ blanca lawson „ feat. yvonne strahovski @tumblr Nom lawson (négociable). Prénom(s) blanca. Âge vingt-huit ans. Lieu de naissance au choix. Statut officiellement célibataire. Préférences bisexuelle. Métier dans l'armée. Groupe écrire ici. Avatar souhaité yvonne strahovski (négociable pour tabrett bethell ou rachel skarsten). Je vais être très simple, l’histoire, tout comme le caractère est entièrement au choix. Je peux vous donner des pistes si vous le désirez mais je n’ai pas de préférence particulière. extraits de ma fiche la concernant, - Spoiler:
(O1²)- Blanca. La magnifique blonde le regarda dans les yeux alors qu’elle lui tendait la main. Ian la lui serra, un léger sourire aux lèvres. – Ian. Il ajouta un léger hochement de tête poli à ses paroles alors qu’il essayait de regarder la blonde dans les yeux. C’était difficile. Non pas à cause de ses béquilles mais bel et bien à cause de ce décolleté affriolant qu’elle affichait. Cette femme était tout simplement magnifique. – Vous étiez avec ma femme, c’est ça ? Il se rappelle vaguement qu’elle lui a parlé de Blanca, la seule autre fille de l’unité. La blonde hoche la tête, parait presque gênée sans bien qu’il ne comprenne pourquoi. – C’est ça oui. Elle m’a donné ça pour vous. Elle lui tend une enveloppe et Ian l’attrape machinalement. – Merci. Il devrait probablement l’ouvrir sur le champ. Il aurait du. Il l’aurait fait il n’y a pas un an. Il se serait empêché d’arracher le papier et d’en lire chaque mot, de se l’imaginer l’écrivant, d’y répondre immédiatement. Pour autant il se contenta de la mettre dans la poche de son jean. – Vous voulez entrer boire un café ? Qu’il demande, un peu spontanément. C’est surement ce pourquoi il est autant étonné qu’elle réponde oui. Un sourire en coin, il ferme la porte derrière elle, scelle leurs destins.
(O2²) Ils sont près, bien trop près. Il le sait, il le sent. Il ressent intensément la distance entre leurs deux peaux, entre leurs deux bouches. Leurs souffles se fondent et se confondent. Leurs esprits loin, déjà bien trop loin. Une brise parfaite, un ciel dégagé et de la vodka, bien trop de vodka. Des rires, des confessions, des rapprochements. Et ça. Eux, si près. – Ian. Son nom coule comme le nectar des dieux entre ses lèvres et enflamme les reins de Ian. Il ne se fait pas prier et s’approprie ses lèvres, sans douceur. Il est mû par l’urgence, l’envie passionnelle. Elle n’a qu’un vague moment d’immobilité avant de l’attraper par les cheveux pour l’approcher plus encore. Et elle lâche tout, se recule. – Non, on ne peut pas. Ses mots tremblent, sa respiration s’accélère, ses joues rougies par le baiser le transporte ailleurs. – On peut. Qu’il dit avant de poser une main doucereuse sur sa joue qu’il caresse doucement. Il la charme, la cajole, l’appelle. Et elle vient. Leurs lèvres se cherchent de nouveau, plus calmement, plus charnellement. Et c’est au tour de leurs mains d’entrer dans la danse, de se découvrir doucement. – Je suis désolé. Qu’il dit après s’être reculé, après avoir senti son cœur battre si fort qu’il avait l’impression d’exploser. Il était marié. Il était marié et cette rigidité qu’il sentait dans son caleçon devrait le rester. – Je suis désolé. Qu’il répète avant de partir prestement, bon grès, mal grès. Mais de partir.
(O3²) Il se réveille dans cet état e bien être que seule une nuit de passion intense peut apporter. Un sourire aux lèvres, il se tourne et passe une main sur le corps gracile de la jeune femme. Les cheveux blonds lui rappelle que ce n’est pas Mac et la culpabilité pointe le bout de son nez, cruelle, impitoyable. Tu as trompé ta femme qu’elle lui chuchote et lui, de se ratatiner, de se complaire dans ce sentiment. Et pourtant sa main ne quitte pas le dos de Bianca, la caresse doucement. Ils ont essayé. Lutté, se sont repoussés pour mieux s’attirer. Mais ils ont cédés. Parfaitement lucides. Ont promit de ne pas recommencer. Et se sont retrouvés chez elle, dans sa voiture. Et maintenant chez lui. Chez les Matheson. La trahison était d’autant plus totale qu’il avait fait venir une autre femme que la sienne dans leur lit. Il s’en voulait. Terriblement. – Bonjour. Elle se tourne, attrape sa main et y dépose un baiser. Un sourire nait sur ses lèvres alors qu’il plonge dans ses yeux ensommeillés. – Bonjour toi-même. Il répond, avec légèreté. Il l’est toujours avec elle, léger. Il enterre le poids de la culpabilité pour le ressortir plus tard, lors de ses soirées solitaires. – Pas de petit-déjeuner au lit, je suis déçue. Une moue boudeuse apparait sur ses lèvres et Ian ne peut retenir un rire. – Je pensais commencer par autre chose. Et il s’avance pour capturer ses lèvres. Ce n’est pas Mac, ce n’est pas sa femme. C’est Blanca et elle est parfaite. Dans ses bras, dans ses yeux, dans ses reins, il ne regrette rien.
ian matheson; erreur, parfaite erreur Elle était là pour le voir, de ses propres yeux. Pour parader, pour dire regarde, regarde ce qui s’occupe de ta femme quand tu n’es pas là. Et elle n’a rien dit. Elle l’a regardé et l’a invité. Dans sa vie, dans son lit. Elle sait, elle sait que sa femme l’a trompé et maintenant elle sait qu’il a trompé sa femme. Entre deux, seul pont qui les lie, les relie encore. Elle est là, elle le caline, le cajole, l’attire, le retient. C’était simplement pour s’amuser et c’est elle qui est devenue la blague. La maitresse. La catin désirable qu’on s’arrache de lit en lit. Vaste sujet de rigolade qu’elle fera, elle le sait. Mais elle ne peut pas le perdre. Ni lui, ni elle. Pas vraiment de l’amour, pas vraiment de l’amitié. Définitivement quelque chose de fort, trop fort qui lui laisse un petit gout de reviens-y.
mckenzie matheson; amie, amante C'est sur le front qu'elles se sont rencontrées, rapprochées. C'est là bas qu'elles se sont confiées, trouvées, aimées. C'est arrivé de nulle part mais c'est arrivé. Une fois, deux fois, trop de fois pour les compter. Elles se sont connues à de nombreuses reprises, encore et encore, portant toutes deux la culpabilités de trahir Ian, le mari de Mac. Depuis quatre mois, elles se manquent, Blanca rapatriée aux Etats-Unis. Elles s'écrivent, s'appellent. Elle ne s'aiment pas, pas vraiment. Peut-être au creux d'un soupir, au détour de mots d'amour.
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